Les jeunes cherchent la travail a l’etranger.

Posted on 10 Czerwiec 2016 by Marta

Aujourd’hui, de plus en plus de jeunes sont forcés de chercher du travail à l’étranger et c’est parce qu’ils ont disposé à obtenir un meilleur salaire. La question la plus importante est: pourquoi ils ne restent pas dans leurs patries, mais il partent à l’étranger? Souvent, aprés les études, ils ne peuvent pas trouver de l’emploi dans leur domaine avec les bonnes conditions. C’est pourqoui ils ont obligés de déménager pour vivre et gagner d’argent pour etre indépendant de ses parents. Surement, cette situation a ses avantages et ses désavantages, pourtant cela depend de point de vue. Nos traditions, nos coutumes ne sont pas accepter dans toutes les pays du monde et cela peut causé des grands problémes avec l’adaptation à l’étranger. En regardent de point de vue d’un pays, un bon étudiant, qui peut atteindre un grand succés et qui part en étranger c’est une grande perte. Cela peut causé des grands problemes, meme une catastrophe économique.

Tout d’abord, je veux présenter les aspects d’adaptation. Les jeunes commencent à habiter dans un pays totalement différent et en conséquance ils peuvent avoir des difficultés avec l’adaptation dans l’environement des cultures étrangéres. Souvent ils ont peur de ne pas etre acceptés et cela peut vraiment barrer leur chance dans l’adaptation. Un jeune homme qui n’est pas accepté dans son nouveau emploi se sent encore plus timide, il se ferme pour les gens et en effet il se sent solitaire, il veut rentrer chez sa famille. Il y a beaucoup des telles situations, c’est parceque les jeunes ne pensent pas de l’avenir.Ils ont une maniére d’idéaliser leurs capacités. Ils veulent etre indépendant mais il ne pensent pas des conséquences. Je trouve qu’une telle décision n’est pas facile et cela demande du courage incroyable, mais aussi de la responsabilité. Cette décision doit etre prudent.

Deuxiénement, je pense que commencer a vivre dans un autre pays, de nouveaux problémes apparaissent tels que la langue, les coutumes de la population par exemple la religion, et sur tout les regles, la loi. En plus il est trés difficile de s’habituer à parler en langue différente. Ce qu’on appele la difficulté de s’adapter à une nouvelle facon de vie. Dans ce cas là l’adaptation est aussi trés importante. Toutefois, se conformer à la société est un impératif meme si les jeunes n’acceptait pas les régles.

Finalement, je suis sûr, que l’émigration donne beaucoup de possobilités telles que le développement professionnel, la connaissance de nouvelles cultures et l’unpprentisage de nouvelles langues. En admettant que les étudiants n’ont pas de problémes avec l’adaptation, ils peuvent acquérir de l’expérience qui aide dans l’avenir. Les jeunes deviennent certainement plus mûrs et responsables grâce à l’emploi à l’étranger.

En conclusion, je pense que le départ à l’étranger pour travailler est une bonne idée. Néaumoins, il y a beucoup de difficultés qui sont liées avec l’adaptation, les coutumes et la langue. Dés qu’on les surmonte, il ne reste aux jeunes émigrants seulement que de profiter de cette possibilité.

~Kuczmańska

Un jour de travail de fossoyeur

Posted on 10 Czerwiec 2016 by Marta

C’est ma première journèe de travail de fossoyeur. Tout a commencé de façon très positive. Les gens polis, l’assurance que je m’habituai rapidement. Néanmoins, j’avais mauvais prémonition. J’ai commencé à travailler dans la maison de funéraire. On m’a emmené souterrain, où je marchais dans un long couloir sombre. De loin je sentais l’odeur particulière. Enfin nous sommes arrivés au porte métallique, énorme, hermétiquement fermé. J’ai été choqué lorsque j’ai été informé ce que je dois faire. J’ai pensé que à mes responsabilités incluront seulement creuser des trous au cimetière et la portage de cercueil. A la place de cela je devais préparer les défunts pour l’enterrement. J’étais terrifié. Le visage pâle, les mains froides. Je ne savais pas quoi faire. D’abord j’ai dû couper ses ongles. J’ai pris sa main glacée et j’ai commencé à couper. Premièrement le pouce. Ensuite l’index. Subséquemment un autre clou est tombé au parterre. Et le prochaine. Un par un, ils tombèrent doucement au sol. Je me suis demandé constamment à ce que je fais ici? Peigner les cheveux du vieil homme, faire sa coiffure – c’était au-delà de mes forces. C’etait le temps pour la pause. Je ne pouvais pas sortir parce que la ville était trop loin. Donc je juste mangé un sandwich dans le couloir. Je ne pouvais pas penser à autre chose que la mort, le défunt et horrible odeur qui a plané dans l’air. La conscience que je prends soin de corps d’un père, d’un ami, d’un mari de quelqu’un m’a faisait peur. J’étais rempli de panique. J’étais la dernière personne qui voit le mort. Personne ne pouvait lui dire au revoir, juste moi, un étranger. Je commençais à craindre. Je ne pouvais pas supporter plus longtemps, je voulais m’échapper. Encore juste un moment. Enfin! Quelqu’un est venu pour me sauver. Vite! S’habiller, sortir ! La liberté ! Mais je ne me sentais pas la joie. Que de le désespoir. La tête submergé de répugnance et de soumission. Réticence à revenir le lendemain. La démission mentale. La résignation. J’ai senti rien de plus après cette horrible expérience.
~Kuczmańska

La guerre entre le papier et le numerique

Posted on 10 Czerwiec 2016 by Marta

Le monde est face à la grande révolution causé par le développement de l’électronique. On prédit la fin prochaine du livre et de la presse papier. Comment cette guerre se terminera-t-elle ?

Les débuts de l’écriture.
L’écrit a ses débuts dans les temps anciens . L’écriture pictographique est reputé comme la plus ancienne. Les Egyptiens ont utilisé pour cela la pierre. Ensuite, le papyrus a été inventé. Puis, au Moyen Age les livres ont étaient écrits par des prêtres. Ils avaient, le plus souvent, un caractère religieux. Aujourd’hui les livres et la presse papier sont très populaire, pourtant la population l’utilise de moins en moins. Les statistiques montrent cela.

Les débuts du livre et de la presse électronique.
Les livres et la presse papier sont de plus en plus remplacés par les journaux sous forme électronique ou par les «e-book». Cette révolution a eu lieu au même temps que la popularisation des tablettes et smartphones. La première entreprise qui a fait l’interversion à l’échelle internationale était l’Apple.

Pourquoi on remplace six mille ans de la révolution de l’êcriture par les nouvelles technologies?
La réponse est simple. Un élément le plus important d’aujourd’hui est devenu la commodité et le confort. Le mode de notre vie a également changé. Nous sommes constamment pressé, nous n’avons pas un moment de calme pendant la journée. Conséquemment, au lieu d’aller à la bibliothèque ou au kiosque, on «clic» sur l’écran de notre smartphone et voilà ! Nous avons les mêmes livres, les articles et les rapports que dans les livres et presse sous forme papier. Alors, pourquoi perdre du temps à la recherche dans la bibliothèque, quand on peut tout simplement cliquer ? Un bon exemple de cette évolution est un magazine américain «Newsweek », lequel depuis un an n’existe plus en forme papier, seulement sous forme électronique. Après 80 ans, il a disparu de salles de presse ! Le diagramme montre les changements causés par le remplacement de l’imprimerie par le numérique.

Cette évolution est-elle positive ou négative?
Pour la plupart des lecteurs cette évolution est plutôt négative. C’est parce que la culture de la lecture est totalement différente. Aujourd’hui nous lisons un livre en hâte, sans concentration. En plus c’est une grande chute des bibliothécaires mais surtout dans le secteur de l’imprimerie. En outre, le langage devient pauvre, parce que grâce à des dispositifs électroniques nous pouvons lire, mais pas seulement. La fin de la machine à imprimer, permettra d’accroître la demande des tablettes et smartphones. Ceux-ci seront les seuls appareils de communication possibles.

~ Kuczmańska

zajęcia

Posted on 10 Czerwiec 2016 by Marta

1. udział w zajęciach
2. prezentacja tematów
3. testy teściki
4. skala ocen
5. co sie dzieje

Graffiti

Posted on 16 Marzec 2016 by Marta

Graffiti: art ou vandalisme? Ce problème suscite également beaucoup des controverses que de la curiositè. La question, si le graffiti est un art ou tout simplement du vandalisme ordinaire, c’est certainement l’une des questions les plus fréquemment posées sur ce sujet. Dans mon essai je veux montrer que le graffiti n’est pas une acte de vandalisme, sous condition qu’il ne dépasse pas une certaine limite esthétique. Pour plus précisément comprendre le sujet, je voudrais préalablement expliquer la signification de ce mot et le processus de la création de cette l’art.

Le graffiti ce sont des dessins et des sous-titres sur des murs des maisons, des trottoirs ou des bâtiments, sur le contenu humoristique et politique. Graffiti est un phénomène international, implantè par un sculpteur et peintre francais- Jean Dubuffet. Ce genre d’art aide les jeunes de s’exprimer. Elle peut être comparée avec composer de la musique ou avec l’écriture des poemes.

Toutefois, certaines personnes ont une destructive façon de penser. Ils expriment de cette maniere leur indignation, en utilisant des monts vulgaires et chatouilleux. Ils dessinent des illustrations pervers, en utilisant des mots vulgaires. De la sorte le graffiti cesse d’exister. Ce n’est plus l’art, mais le vandalisme. Telles actes pulvérise l’estetique des villes. Cela ne paraîte pas joliment, les habitans même ont honte de apparence de leur ville.

Cependant, il y a des personnes (heureusement la majorité) qui commprent le vrai expédition de graffiti. Ces sont les jeunes avec un grand talent. Ils savont qu’il ne suffie pas d’ecrire. Pour créer un tel chef-d’œuvre il faut adroitement choisir des coulours et des formes. Un vrai graffiti rende agréable la vie des habitants et fait une bonne impression sur les touristes. L’esthétique de la ville augmente et engraisse la noir et blanc vie quotidienne.

Je pense que j’ai bien montré la difference entre l’art et l’acte du vanalisme. Le graffiti est une vrai arte, qui ne porte pas atteinte. Contrairement au vandalisme, il enriche l’apparence de ville et il a un impact positif pour les habitants.

~Kuczmańska

Brodacz

Posted on 16 Marzec 2016 by Marta

Modę na brodę czas rozpocząć. Prehistoryczni mężczyźni nie znali nawet najprostszych narzędzi, by pozbyć się zarostu, dlatego chodzili zarośnięci, wobec tego co skłania współczesnych mężczyzn do zapuszczania owłosienia na twarzy? Od drugiego tysiąclecia przed naszą erą dzięki wynalezionym przez Egipcjan brzytw metalowych z brązu zaczęto się golić. I nie chodziło wcale o względy higieniczne czy estetyczne, broda była przywilejem władcy. W Europie od XIII wieku mężczyźnie po prostu wypadało mieć brodę. Niektórzy nosili spiczaste jak kolec, inni farbowali swoje owłosienie, a inni znów zapuszczali bokobrody. Im dziwaczniej wystylizowana i okazała, tym lepsza. Wszystko po to, by manifestować swój status społeczny i elegancję. Późniejszy okres można nazwać ciszą przed burzą w brodowej sprawie. Mężczyzna ogolony był synonimem zadbanego i zdrowego. A dziś? Dziś nastały ciężkie czasy, szczególnie dla kobiet. Na każdym rogu, w każdym domu brodacz. Brodacz brodaczem brodacza pogania. Tylko czy ten, na którego akurat patrzysz to bezdomny cap czy mainstreamowy brodacz?

~Kuczmańska