Un jour de travail de fossoyeur

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C’est ma première journèe de travail de fossoyeur. Tout a commencé de façon très positive. Les gens polis, l’assurance que je m’habituai rapidement. Néanmoins, j’avais mauvais prémonition. J’ai commencé à travailler dans la maison de funéraire. On m’a emmené souterrain, où je marchais dans un long couloir sombre. De loin je sentais l’odeur particulière. Enfin nous sommes arrivés au porte métallique, énorme, hermétiquement fermé. J’ai été choqué lorsque j’ai été informé ce que je dois faire. J’ai pensé que à mes responsabilités incluront seulement creuser des trous au cimetière et la portage de cercueil. A la place de cela je devais préparer les défunts pour l’enterrement. J’étais terrifié. Le visage pâle, les mains froides. Je ne savais pas quoi faire. D’abord j’ai dû couper ses ongles. J’ai pris sa main glacée et j’ai commencé à couper. Premièrement le pouce. Ensuite l’index. Subséquemment un autre clou est tombé au parterre. Et le prochaine. Un par un, ils tombèrent doucement au sol. Je me suis demandé constamment à ce que je fais ici? Peigner les cheveux du vieil homme, faire sa coiffure – c’était au-delà de mes forces. C’etait le temps pour la pause. Je ne pouvais pas sortir parce que la ville était trop loin. Donc je juste mangé un sandwich dans le couloir. Je ne pouvais pas penser à autre chose que la mort, le défunt et horrible odeur qui a plané dans l’air. La conscience que je prends soin de corps d’un père, d’un ami, d’un mari de quelqu’un m’a faisait peur. J’étais rempli de panique. J’étais la dernière personne qui voit le mort. Personne ne pouvait lui dire au revoir, juste moi, un étranger. Je commençais à craindre. Je ne pouvais pas supporter plus longtemps, je voulais m’échapper. Encore juste un moment. Enfin! Quelqu’un est venu pour me sauver. Vite! S’habiller, sortir ! La liberté ! Mais je ne me sentais pas la joie. Que de le désespoir. La tête submergé de répugnance et de soumission. Réticence à revenir le lendemain. La démission mentale. La résignation. J’ai senti rien de plus après cette horrible expérience.
~Kuczmańska

Brodacz

qqModę na brodę czas rozpocząć. Prehistoryczni mężczyźni nie znali nawet najprostszych narzędzi, by pozbyć się zarostu, dlatego chodzili zarośnięci, wobec tego co skłania współczesnych mężczyzn do zapuszczania owłosienia na twarzy? Od drugiego tysiąclecia przed naszą erą dzięki wynalezionym przez Egipcjan brzytw metalowych z brązu zaczęto się golić. I nie chodziło wcale o względy higieniczne czy estetyczne, broda była przywilejem władcy. W Europie od XIII wieku mężczyźnie po prostu wypadało mieć brodę. Niektórzy nosili spiczaste jak kolec, inni farbowali swoje owłosienie, a inni znów zapuszczali bokobrody. Im dziwaczniej wystylizowana i okazała, tym lepsza. Wszystko po to, by manifestować swój status społeczny i elegancję. Późniejszy okres można nazwać ciszą przed burzą w brodowej sprawie. Mężczyzna ogolony był synonimem zadbanego i zdrowego. A dziś? Dziś nastały ciężkie czasy, szczególnie dla kobiet. Na każdym rogu, w każdym domu brodacz. Brodacz brodaczem brodacza pogania. Tylko czy ten, na którego akurat patrzysz to bezdomny cap czy mainstreamowy brodacz?

~Kuczmańska